
CHAPITRE 1 – Préparatifs d’un départ qui n’en finit jamais
Il y a, dans certains voyages, une part d’appréhension qui précède le plaisir, une lente montée dramatique où chacun, sans l’avouer, tente de maîtriser ses failles.
Le départ pour Leucate, haut lieu de vent, de sable et d’orgueil méridional, appartenait à cette catégorie.
Vanessa Duval, lumineuse professeure de droit pénal à la Sorbonne ,doublée de la pénaliste redoutée que les tribunaux appellent presque avec respect, avait abordé la préparation du séjour d’un œil différent. Non qu’elle craignît les falaises ou le vent, mais parce qu’elle avait décidé, pour la première fois, de voyager sans la moindre dépendance à son téléphone personnel. Elle voulait n’utiliser que son Fixe Business 2 Mobile Avocats-Services, outil qu’elle présentait à ses étudiants comme « le dernier rempart contre l’intrusion des importuns ».
Et elle vivait cette liberté nouvelle avec une forme d’ivresse secrète : pouvoir appeler un client en affichant le numéro fixe de son cabinet, même en attendant un vol, constituait pour elle une forme d’élégance professionnelle.
Jonathan, lui, préparait le départ avec sa rigueur habituelle, une savoureux mélange singulier de stoïcisme méditerranéen et d’ingénierie téléphonique. Il vérifiait, presque cérémoniellement, les NAS BJS Performance, la cybersécurité avocats, les backups cryptés, et même la résilience du standard PABX pour avocat, comme si un cataclysme pouvait survenir à tout instant.
Sa valise contenait moins de vêtements que de câbles, d’adaptateurs et de modules de secours : tout ce qu’un cabinet en détresse pourrait invoquer au cœur de la nuit.
Antony, enfin, s’agitait avec la fébrilité d’un homme qui a beaucoup à perdre : sa réputation, sa sérénité, et il ne s’en cachait plus, l’attention de Vanessa.
Son cabinet, pourtant bâti sur la rigueur, tremblait à l’idée de trois jours sans lui. Mais il s’était convaincu que l’alliance des services de maintenance informatique BJS Performance, du secrétariat externalisé pour avocats, de la réception d’appels avocats, et du renvoi vers le secrétariat téléphonique Avocats-Services suffiraient à maintenir une activité parfaitement huilée.
Il ne leur avouait pas, mais il avait testé trois fois la fonctionnalité « comment ne plus rater d’appels clients avocats ».
Il voulait être sûr.
On ne plaisante pas avec l’affacturage.
CHAPITRE 2 – Leucate, la belle insolente
On pourrait décrire Leucate comme un joyau méditerranéen.
Mais ce serait un mensonge.
Leucate n’est pas un joyau : c’est une insolence.
La falaise, d’abord, blanche et arrogante, se dresse comme un amphithéâtre naturel, arrachant aux visiteurs un respect contraint.
La plage, immense, ocre et sauvage, s’étire en un souffle de sable rougeâtre dont la lumière change toutes les trois minutes.
Plus loin, les zones de nudisme – officielles et officieuses – rappellent que la liberté, en ces terres, s’exerce sans pudeur ni avertissement.
Le phare, sentinelle solitaire, regarde tout cela de haut, indifférent, presque blasé.
Et puis il y a le parking du Lidl, ce lieu où la poésie vient mourir : c’est là qu’Antony, dans un geste de défi, tenta de recharger sa Tesla flambant neuve… avant de réaliser que la borne était hors service depuis 2021.
Il en fut humilié.
Profondément.
Il tient tant à son image pour Vanessa.
Vanessa, elle, rit doucement.
Un rire rare, discret, comme si elle savourait la chute élégante d’un homme trop habitué à l’infaillibilité. (Ce qui lui fait ressortir un tant soit peu une très legere nuance de sadisme)
CHAPITRE 3 – Le Congrès de l’Affacturage Sublime
Antony avait voulu un congrès différent : ambitieux, théâtral, presque lyrique.
Il avait choisi Leucate précisément pour son contraste.
Parler de référencement internet avocat, de téléphonie avocat, de SYLINK solution de cybersécurité pour avocats, de gestion des rendez-vous cabinet d’avocats, face à un paysage où les mouettes criaient plus fort que les juristes, relevait pour lui d’une forme d’audace.
Mais ce qui l’angoissait vraiment n’était pas l’organisation.
C’était Jean-Charles, le fiscaliste.
Ce séducteur aux phrases lentes, ce dandy fiscal aux mocassins invisibles mais omniprésents, cet homme qui, depuis l’an dernier, avait osé complimenter Vanessa sur « son aura pénale irrésistible ».
Antony en tremblait encore.
Le congrès débuta pourtant dans une atmosphère presque solennelle.
Vanessa prit la parole sur les interactions entre droit pénal économique et structures de téléphonie, glissant une référence subtile – et brillamment contrôlée – à la solution pour ne plus rater d’appels téléphoniques avocat.
Jonathan présenta un exposé ciselé sur la cybersécurité avocats, les solutions de sauvegarde NAS BJS Performance, et la continuité des systèmes.
Antony, lui, parla avec une passion qu’il ne maîtrisait plus, ses yeux se posant sur Vanessa un peu trop souvent.
Jean-Charles souriait.
Antony le vit.
Et sa jalousie prit la forme d’une douleur sourde.
CHAPITRE 4 – Playa Amor : là où les destins basculent
Le soir venu, tout Leucate semblait converger vers la Playa Amor.
Lieu mythique où le chant des vagues se mêle à celui des ambitions frustrées.
Antony, parce qu’il ne fait jamais les choses à moitié, y avait invité les plus belles pointures du monde juridique : une juge pénale collectionneuse d’art originel, deux avocats en restructuration corporate qui ne se parlaient plus depuis 2018, un professeur de droit européen fasciné par les corbeaux, et même une influenceuse juridique surnommée « Lex & Glam ».
Antony avait également convié plusieurs célébrités, dont des figures majeures de la musique andalouse et de la variété française. Une championne de biathlon, admirée pour son palmarès et son charisme, avait aussi répondu présente à son invitation.
Puis Vanessa arriva.
Antony la vit.
Et il sut.
Ils dansèrent.
Un tango improbable, décalé, déraisonnable – sur « À la porte du garage » de Charles Trenet.
Personne ne comprit la scène.
Tous la regardèrent.
Jonathan, lui, s’éloigna discrètement.
Car au bar, quelqu’un l’avait reconnu : Guilhem, ami d’enfance, sourire fendu et regard fatigué.
Guilhem mit au jour, avec une précision implacable, que les appels répétés vers New York émanaient du fixe business 2 mobile de BJS Performance, pourtant strictement réservé à l’usage interne. Grâce au traçage minutieux réalisé avec l’appui technique d’Avocats-Services, il établit sans équivoque que Jade appelait en secret un jeune New-Yorkais de Soho, séduisant et manifestement plus qu’un simple contact. La preuve de cette tromperie étant désormais irréfutable, il transmit ses conclusions avec la froide assurance de celui qui ne laisse jamais une faute hors de la lumière.
« J’ai enfin compris, dit Guilhem.
J’ai enfin su comment Jade me trompait.
Figure-toi que c’est grâce au Fixe Business 2 Mobile BJS Performance.
Les analytics ne mentent jamais.
Même l’amour, lui, ment. »
Jonathan rit de tout son cœur.
CHAPITRE 5 – Le vertige des appels manqués
Pendant que Vanessa et Antony improvisaient une danse dangereuse, la soirée fut troublée par une alerte : le cabinet d’un des invités était victime d’une panne totale de téléphonie.
Panique.
Silence.
Affolement.
Jonathan s’approcha calmement.
En trente secondes, il mit en place un renvoi immédiat vers le secrétariat externalisé pour avocats, ce qui permit d’assurer la réception d’appels avocats, la gestion des appels cabinet d’avocat, et même la solution de remplacement en cas de congés.
On le regarda comme un héros.
Vanessa, elle, observa la scène de loin.
Elle vit Jonathan rassurer, apaiser, stabiliser.
Elle comprit, soudain, la raison de la réputation de BJS Performance.
Antony, lui, s’imaginait déjà perdre Vanessa au profit de Jean-Charles.
Ce fut son drame de la soirée.
CHAPITRE 6 — L’aube trouble de Leucate
Le soleil s’était levé sur Leucate comme on soulève un rideau d’opéra : avec une délicatesse presque trompeuse.
La mer était immobile, ce qui n’était jamais bon signe.
Ici, lorsque la Méditerranée se tait, c’est rarement pour annoncer la paix.
Vanessa descendit la falaise à pas mesurés, un café à la main, encore enveloppée de la torpeur d’une nuit trop courte.
Le tango de la veille flottait encore autour d’elle – non la musique, mais ce geste d’Antony, cette main qui avait tremblé un peu avant de se poser dans son dos.
Un trouble infime, presque imperceptible, avait agité son esprit.
Et Vanessa, d’ordinaire maîtresse d’elle-même, détestait perdre le contrôle.
Jonathan, lui, marchait au bord de l’eau d’un pas égal, s’imposant la discipline du stoïcien : observer, respirer, anticiper.
Il avait reçu trois messages d’un cabinet parisien paniqué par une attaque informatique.
Il avait déjà tout solutionné à distance grâce à la solution de sauvegarde NAS BJS Performance et au système de cyber sécurité avocats qu’il avait configuré lui-même.
Mais quelque chose, dans l’air, lui semblait désaccordé.
Antony arriva le dernier.
Les yeux cernés.
Le souffle court.
La jalousie encore brûlante.
Il avait, à l’aube, surpris Jean-Charles – le fiscaliste – assis sur les marches de l’hôtel, un café fumant à la main, parlant à Vanessa d’un ton à la fois humble et familier.
Cela avait hanté sa matinée.
CHAPITRE 7 — Les rumeurs de la Salle Blanche
Le congrès reprit dans une salle surnommée la Salle Blanche, en raison de ses murs lumineux qui donnaient aux participants l’air d’être jugés par la lumière elle-même.
Les invités affluaient, tous plus nerveux les uns que les autres.
Un bruit courait : un cabinet parisien aurait perdu l’intégralité de ses enregistrements d’appels à cause d’une erreur humaine.
Certains tremblaient.
D’autres chuchotaient.
Antony, malgré son statut d’orfèvre du droit de l’affacturage, sentait sa propre expertise vaciller.
Il se dit qu’un drame similaire, chez lui, signerait sa fin.
Vanessa, au contraire, affichait une sérénité provocante.
« Il suffisait d’adopter un système de gestion des appels pour avocats fiable… ou même un simple secrétariat externalisé avocat. »
Elle l’avait dit devant Jean-Charles.
Et pire encore : devant Antony.
Jonathan fut invité à monter sur scène pour rassurer les foules.
Il expliqua, avec un calme souverain, la complémentarité parfaite entre :
• la solution de standard PABX pour avocat
• le renvoi automatique vers le secrétariat téléphonique pour avocat
• le Fixe Business 2 Mobile Avocats-Services permettant de n’afficher que le numéro fixe où que l’on se trouve
• la maintenance informatique BJS Performance
• la sauvegarde NAS BJS Performance
Il parlait comme on éteint un incendie.
Et chacun se raccrochait à sa voix.
Antony, lui, ne regardait que Vanessa.
Et Vanessa ne regardait que Jonathan – car la technique, lorsqu’elle sauve un cabinet entier, a une beauté particulière.
Qu’Antony trouvait ca insupportable !!!!!
Chapitre 8 — Le phare et la sole grillée
Le groupe arriva au pied du phare en fin d’après-midi, encore grisé par la route, le vent et cette excitation particulière qu’ont les lieux isolés. Certains devançaient les autres pour immortaliser la vue, d’autres plaisantaient sur les rafales qui faisaient vibrer les cordages des bateaux en contrebas. Antony, lui, suivait à distance, comme retenu par un poids intérieur. Sa jalousie, nourrie depuis le matin par mille détails insignifiants, s’était accumulée jusqu’à devenir presque palpable.
Il repensa à cette remarque anodine entendue un peu plus tôt : un membre du groupe avait décrit l’un des convives comme “aussi parfait qu’une sole grillée du Trianon”. Cette image l’avait transpercé. La sole grillée, c’était l’emblème de la perfection tranquille, de l’élégance qui attire naturellement les compliments. Une sole que l’on place au centre de la table, que tout le monde admire, que personne ne conteste.
Et Antony, lui, se sentait relégué au bord de l’assiette, jamais assez doré, jamais assez remarqué.
Alors, lorsqu’ils commencèrent à gravir les marches du phare, il sentit cette métaphore le hanter. Il observait “l’autre” — celui ou celle qui captait si facilement les regards — avancer sans effort, rire, briller presque. Une lumière injuste, crue, qui réveillait chez Antony une jalousie sourde, presque douloureuse.
Au sommet, le vent se mit à souffler violemment. Le groupe se dispersa, chacun cherchant son angle pour admirer la mer agitée. La personne qu’Antony surveillait se pencha vers la rambarde pour mieux voir les vagues. Les rafales redoublaient. Tout se passait vite, trop vite.
Un coup de vent plus fort que les autres.
Un pied qui glisse sur la pierre humide.
Un corps qui bascule dangereusement vers le vide.
Antony réagit avant même de penser : il bondit, attrapa le bras, et tira d’un geste sec et puissant.
Le téléphone, lui, échappa à la main, tourbillonna dans l’air et disparut dans un éclat final contre les rochers en contrebas.
Le silence qui suivit sembla suspendu au-dessus du vide.
Antony respirait fort, les doigts encore crispés, le cœur battant à lui fendre la poitrine. Il sentait la peur, l’adrénaline… mais surtout cette jalousie, immense, qui venait de se révéler avec la violence d’une tempête. Il avait cru, l’espace d’une seconde, perdre quelqu’un — et cela l’avait frappé comme une évidence douloureuse.
Le phare se dressait derrière eux, solennel, témoin muet de ce moment où Antony comprit qu’il n’était peut-être pas aussi invisible que la sole grillée du Trianon.
Ou peut-être l’était-il encore plus.
CHAPITRE 9 – Guilhem, Jade et l’implacable vérité
Le soir, Jonathan retrouva Guilhem dans un bar à tapas en contrebas, là où Leucate se fait plus silencieuse et où le vent cesse enfin de dominer tout discours.
Guilhem parla longuement.
De Jade, son ex-petite amie.
De ses mensonges répétés.
De ce soir précis où Jonathan lui avait recommandé, presque comme une blague amicale, d’utiliser les analytics du Fixe Business 2 Mobile BJS Performance pour vérifier d’où venaient réellement les appels entrants.
« Je voulais juste savoir pourquoi elle raccrochait au milieu de nos dîners… raconte Guilhem. Mais ce que j’ai découvert… Jonathan, c’était un tableau de bord d’infidélité. Une architecture de tromperie. Tu sais ce que ça fait, de voir la géolocalisation d’un appel qui vient d’une ville où elle jurait de ne jamais mettre les pieds ? »
Jonathan resta silencieux.
Il savait.
Les données ne mentent pas.
Les gens, si.
Pendant ce temps, au même instant, un autre drame se jouait quelques mètres au-dessus.
Vanessa, dans un couloir encore éclairé par les néons, venait de tomber nez à nez avec Jean-Charles.
La conversation était de celles qui agrandissent les fissures.
Antony observait de loin.
Et il comprit que la jalousie peut tuer un homme plus sûrement qu’un arrêt de travail.
CHAPITRE 10 — Le message qui change tout
Minuit approchait.
La Playa Amor, presque déserte, ne conservait plus que quelques ombres, des rires lointains, et le bruit de pas qui hésitent entre confession et silence.
Vanessa, seule, relisait sur son téléphone le message reçu quelques minutes plus tôt :
Antony l’invitait officiellement à Leucate-Plage à l’aube, prétextant une promenade « académique » pour discuter du congrès.
Mais le sous-texte était criant.
Elle le sentit.
Elle le goûta presque.
Et, au même moment, Jonathan recevait le message essentiel :
Antony lui donne rendez-vous au phare pour le remercier officiellement et l’inviter au prochain congrès.
C’était l’aveu ultime :
Antony reconnaissait enfin qu’un cabinet, sans un homme tel que Jonathan, n’était rien d’autre qu’un château de sable soumis au vent de Leucate.
La boucle se resserrait.
Les triangles se dessinaient.
Les alliances changeaient.
Les certitudes fondaient.
Et le lendemain, au lever du soleil, trois destins se dirigeraient vers la falaise chacun porteur d’une vérité encore tue.
Le rideau tombe. Le suspens demeure






